Gestion d’un site web.

Gestion d’un site Web

Mise à jour en Novembre 2022 – Octobre 2023

SOMMAIRE

Principes de Base

Création d’un site web en ligne
– Hébergeur et nom de domaine

Création d’un site web en local
– Installation de Wampserver 3.2.6 et d’un Virtual Host pour un serveur en local
– Création d’une base de données (BDD)
– Installation de WordPress en Local

Migrer votre site en Ligne vers un site local
– Vous n’avez pas de site local et vous voulez en créer UN qui soit identique à celui qui est en ligne :
– Vous avez un site local identique à celui qui est en ligne et vous voulez le mettre à jour :
– Utilisation de Search and Replace DB (D’un Site en ligne vers un Site local)

Migrer votre site local vers un site en ligne
– Préparation du site local pour le transfert en ligne
– Utilisation de Search and Replace DB (local vers ligne)

Passer son site qui est en ligne en HTTPS

Création d’un « Thème enfant »

PRINCIPES de BASE

En simplifié, Un site Web est composé de deux applications.

(1) WordPress (CMS) assure le fonctionnement et la présentation du site.
 – Il stock vos médias (photos, vidéos), plugins (extensions), thème (gratuit ou payant) , etc dans le dossier « wp-content »
 – Il est le moteur du site et il est composé de multiples fichiers en php, css, html, java et autres qui se trouvent dans différents dossiers (racine et wp-admin, wp-includes, etc).
Donc il est évident que » wp-content » est le dossier le plus important et qu’il doit être sauvegardé régulièrement.

(2) La Base de Données (BDD) est un conteneur de contenu dans lequel il y aura les liens Url (http ou https) qui pointent vers les médias, plugins, etc de WordPress et le contenu de vos articles, pages, etc.
Pour en savoir plus sur la composition de la BDD, voici un lien vers le site d’Alex La Marmite : https://wpmarmite.com/base-donnees-wordpress/#

WordPress ne s’installe pas comme un logiciel, il n’est donc pas intégré dans la base de registre de windows et n’apparaît donc pas dans « Programmes et fonctionnalités » du panneau de configuration.
WordPress s’installe via un fichier à télécharger et à dézipper dans un dossier sur le disque dur de votre ordinateur ou du serveur de votre hébergeur.
WordPress se désinstalle en supprimant le dossier sur le disque dur.

La Base de Données (BDD) est créée depuis phpMyAdmin.
Pour un site en Local on utilise une application comme WampServer qui fait office d’hébergeur et qui dispose de phpMyAdmin.
Pour un site en ligne on utilise un hébergeur (OVH, 1and1, etc.) qui dispose de phpMyAdmin.

La reconnaissance entre ces deux applications se fait via deux lignes de codes.
(define(‘DB_NAME’, ‘nom de la bdd)’); pour la BDD
$table_prefix = ‘wp_’; pour le préfixe (Attention le préfixe doit toujours posséder le tiret du 8)
Ces lignes se trouvent dans le fichier wp-config.php qui est installé à la racine de wordpress.
Ces lignes et ce fichier seront créés automatiquement après avoir répondu à un certain nombre de questions lors de l’installation de wordpress.

Pour en savoir plus sur la reconnaissance entre la BDD et WordPress, voir les Tableaux 1 et 2 de l’article sur la « Création d’un site web en local ».

La mise en place d’un site commence toujours par la création de la base de données.

En résumé, pour un site, il faut un WordPress, une base de données et un lien entre les deux via wp-config.php.

Dans l’article « Création d’un site web en Ligne » je ne parle pas de l’installation d’une base de données et de wordpress pour la simple raison que je considère que cette fonction est assurée par l’hébergeur que vous rémunérez.
Je ne vous explique que quelques principes bons à savoir (à mes yeux).

Dans l’article « Création d’un site web en Local », je vous parle de :
L’Installation d’un hébergeur local qui est Wampserver et l’utilisation d’un VirtualHost.
De la création d’une base de données
L’Installation de WordPress

Si vous trouvez des anomalies, des erreurs, pouvez vous m’envoyer un mail à : postmaster@microferlille.fr

Création d’un site web en Ligne

Hébergeur et nom de domaine

Sans hébergeur, pas de site en ligne.
Il y en a des gratuits, bof pour moi. Ce qui est gratuit ne l’est jamais et bien souvent avec des pubs.
De plus le certificat SSL peut ne pas être fourni et il faut en acheter un. Bref.
Donc le payant. Environ 60€ par an (1&1, OVH, etc.) pour un hébergement basic livré avec un nom de domaine que vous avez choisi, un certificat SSL et un WordPress installé.

Un nom de domaine (en minuscule) sera celui qui représentera votre site en ligne. Ici c’est microferlille.fr
Pour le nom de domaine, il faut qu’il soit représentatif du contenu de votre site.
Votre nom de domaine peut contenir un trait d’union entre par exemple votre ville et votre domaine d’activité.
Exemple : vous êtes notaire, huissier, fleuriste et vous travaillez dans telle ville.
Cela peut donner ceci : lille-fleuriste.com ou fr (.com comme commercial) ou mettre votre nom/prénom en utilisant la première lettre + la ville et l’activité. Cela peut donner ceci : jdlille-fleuriste.com par exemple.

Le domaine « microferlille.fr » à relativement bien respecté ma vision d’un nom de domaine.
Il indique bien l’activité « micro» chez les cheminots « Fer « rail-SNCF » et le lieu « Lille »,, mais il n’indique pas qu’il s’agit d’une association pour retraités. Un choix devait être fait.
J’aurais pu mettre : assos-microferlille.fr, mais dans ce cas, le nom de domaine est très grand, ce qui n’est pas forcément judicieux.
Comme vous pouvez constater, il est très difficile de tout dire dans un domaine.
Pourtant le choix du domaine est primordial pour le référencement.
Pour moi, l’activité est la pierre angulaire du domaine.
Donc quand vous allez choisir votre nom de domaine, comportez-vous comme un internaute qui recherche dans Google ou autres une activité pour laquelle vous êtes concerné.

Un certificat SSL : il vous permettra de mettre votre site en ligne en htpps.
C’est devenu presque une obligation. En effet Google n’aime plus les sites en http, donc le référencement est délaissé.
Activer le certificat SSL si cela n’a pas été fait par l’Hébergeur.
Pour vérifier l’activation du certificat SSL : https://www.ssllabs.com/

WordPress : si vous avez choisi l’option « WordPress » installé, vous n’aurez rien à faire.
C’est tout l’intérêt du payant, pas grand-chose à faire.
Je n’explique donc pas l’installation de WordPress chez un hébergeur qui est gratuit.

Identifiant et codes d’accès
Votre hébergeur vous a, après inscription et installation WordPresss, fourni par mail les informations suivantes.

L’accès à l’espace client :
Un identifiant et un mot de passe qui vous donnera accès à votre Espace Client dans lequel vous aurez accès aux codes FTP, BDD, phpMyAdmin et autres.

FTP :
Identifiant, mot de passe et protocole pour le FTP.
J’utilise FileZilla qui me donne accès aux dossiers et fichiers wordpress qui se trouvent en ligne.

Base de données :
Accessible depuis phpMyAdmin de votre hébergeur.

Nom de la BDD (DB name), utilisateur (DB user), mot de passe (DB password), le host (DB Host) adresse de la base de données et le préfixe des tables de données.
Vous trouverez également ces informations dans le fichier wp-config.php qui est situé à la racine du site.

Si le préfixe fourni ressemble à cela « wp_ » voyez avec votre hébergeur pour le changer par un plus compliqué composé de chiffres et de lettres suivi du tiret du 8. Le préfixe « wp_ » est une porte ouverte aux malfaisants.
Sinon changer le vous-même avec phpMyAdmin de l’hébergeur, mais avant de le faire, chercher sur le web pour la méthode.
La base de données (BDD) regroupera la totalité de votre travail.
Il s’agira donc du contenu de votre site (articles, pages, images, vidéo, etc.).

Accès au site web en tant qu’administrateur :
Identifiant et mot de passe qui sont demandés lorsque vous voulez vous connecter au tableau de bord de WordPress pour administrer votre site.

Pour Info, je vous recommande très fortement de ne pas faire votre site directement en ligne, mais de le faire d’abord en LOCAL.
Lors de la création de votre site Local, vous utiliserez donc les mêmes noms de la BDD, du préfixe, de l’identifiant et mot de passe WordPress que ceux que vous a fourni votre hébergeur lors de la création du site en ligne vierge.
Cette façon de procéder simplifiera le transfert de votre site Local vers « en ligne ».

Création d’un site web en Local.

Pour Info : Vous pouvez créer autant de sites en local que vous avez besoin.
Il vous suffira d’un seul Wampserver et autant de WordPress que de sites en local. Méthode la plus simple.
D’ailleurs j’ai créé un troisième site local nommé « Formation » qui me sert à manipuler les Blocs de WordPress.

Installation de Wampserver 3.2.6 et de WordPress pour un serveur en local.

Installation de Wampserver 3.2 et + avec un Virtual Host
Avant de commencer l’installation faite les deux opérations ci-dessous
– 1 Installer un Vrai éditeur de texte comme Notepad++ et noter son chemin d’accès.
– 2 Si ce n’est déjà fait, Installer votre Navigateur Web préféré et noter son chemin d’accès.

J’utilise Windows 10 version 64bits et Wampserver 3.2.6

Aller sur le site de wampserver et télécharger la version 64 bits. Actuellement (05/11/2022) c’est la 3.2.6.
Lors de l’installation de wampserver, celui-ci vous signale en rouge des recommandations à appliquer strictement avant de continuer l’installation.
Ci-dessous, un résumé de ce message et la méthode que j’ai appliqué.

Important : il faut respecter l’ordre d’installation ci-dessous afin d’avoir un VirtualHost qui fonctionne.

N’installez pas Wampserver PAR-DESSUS une version existante.

AVANT de procéder à l’installation de Wampserver, vous devez vous assurez que certains éléments (VC++) sont installés sur votre système, sinon, Wampserver ne pourra pas fonctionner, l’installation sera défectueuse et vous devrez supprimer Wampserver AVANT d’installer les éléments qui manquaient.

(A) Aller sur http://wampserver.aviatechno.net/
Descendez en bas de la page sur Tools (Outils) et cliquer sur Checks VC++ packages installed
Outil pour vérifier si les paquetages VC ++ nécessaires à Wampserver 3 et + sont installés correctement.
Après téléchargement, exécuter l’outil « check_vcredist.exe » qui va afficher tous les VC++ manquant dans votre Windows.
– S’il n’y en a pas, vous continuez l’installation de wampserver (voir plus bas).
– S’il y en a, noter le nom des fichiers manquants (Important).
Toujours sur la même page, tout en bas, télécharger le fichier Zip All VC Redistribuable Packages (x86_x64) (32 & 64bits)
Ce fichier possède la totalité des paquetages nécessaires au bon fonctionnement de Wampserver.
Décompresser tous les fichiers dans un dossier du DD et exécuter les fichiers en X86(32bits) et X64(64bits) dont vous avez noté le nom.
Si vous avez un message « Déjà installé », validez Réparer.
Dès que l’opération est terminée, relancer « check_vcredist.exe » afin de vérifier qu’il n’y plus de manquant.
S’il n’y en a pas, vous continuez l’installation de wampserver (voir en (B).
S’il y en a, notez le ou les manquants et recommencez l’opération ou retournez sur http://wampserver.aviatechno.net/ et cherchez après le paquetage qui vous manque et vous l’installez.
Dès que tout est Ok, passez à l’installation de Wampserver.

Installez Wampserver dans un dossier à la racine d’un disque

(B) Accepter le répertoire d’installation proposé (C:/wamp64), n’en mettez pas un autre, cela ne sert à rien.
Wamp vous propose un navigateur (ie) par défaut, s’il ne convient pas, faites parcourir et choisissez le votre qui a été installé au préalable.
Wamp vous propose un éditeur de texte (Bloc-note, wordpad), vous devez refuser et choisissez Notepad++ ou similaire, qui à été installé au préalable. Cela sera plus facile pour vous lors de l’édition de fichiers php, conf, CSS, etc.
Lorsque tout sera installé, vous aurez un nouveau dossier nommé « wamp64 » pour un 64bits dans lequel vous trouverez un dossier www avec quelques fichiers php, ico et dossiers pour thème et langue.

(C) Après installation, lancer « Wampserver »
Si vous avez bien travaillé, et surtout bien appliqué les recommandations de wampserver, une icône en bas à droite passera du rouge à l’orange et au vert. Cela peut être long la première fois.
Cette icône peut être cachée, dans ce cas cliquer sur Λ en bas à droite.
Si l’icône reste à l’orange, clic gauche sur l’icône et Démarrer les services.
Si cela ne fonctionne pas, alors vous vous êtes loupé lors de l’installation.

(D) Important :
Dès que vous avez modifié quelque chose dans Wampserver, il faut relancer les services.
Pour cela, clic droit sur l’icône verte, Outils et Redémarrage DNS. L’icone passera du rouge à l’orange puis au vert. Cela est normal.
Dès que vous avez lancé plusieurs fois votre navigateur Web (IE, Chrome, Firefox, etc.) depuis Wampserver, il faut penser à vider le cache du navigateur. Cela vous évitera bien des ennuis.
Ces opérations seront à refaire régulièrement dès que vous avez une anomalie de fonctionnement.

(E) Aller avec l’Explorateur de fichiers sur le dossier « www » de wamp64 et créer un dossier avec le nom de votre futur site (monsitelocal par exemple).
Ce nom ne doit pas ressembler à celui d’un site qui est déjà en ligne et dont vous êtes propriétaire ou d’un futur site en ligne à venir.
Exemple : en ligne ou à venir : monsite.fr et celui que vous voulez créer en local : monsitelocal
Faite un clic gauche sur l’icône verte et sur localhost.
Vous accédez au tableau de bord, « monsitelocal » apparaitra dans « Vos Projets » et « localhost » dans « Vos VirtualHosts ».
Cela signifie que tout fonctionne pour l’instant.

(F) Vérifications à faire dans wampserver depuis l’icône verte.
Clic gauche, Apache et Modules Apache : vérifier que « rewrite_module est bien coché, sinon le faire.
Clic gauche, PHP et Extensions PHP et vérifier que « openssl » est bien coché, sinon le faire.
Clic droit, Paramètres Wamp et vérifier que « Sous-menu VirtualHosts » est bien coché, sinon le faire.

(G) C’est le moment d’Activer VirtualHost pour votre projet du site « monsitelocal »
Clic gauche icône verte, Vos VirtualHosts, Gestion VirtualHost et une fenêtre s’ouvre.
Remplissez la case « Nom du VirtualHost » en mettant le nom du dossier que vous avez créé dans le dossier www « monsitelocal »
Remplissez la case avec le chemin complet de votre dossier. Cela doit ressembler à cela : C:/wamp64/www/monsitelocal/
Il faut mettre dans le chemin ce caractère « / » y compris à la fin.
La dernière case n’a pas à être remplie.
Valider la création du virtualhost en cliquant sur le bouton « Démarrer ». Comme indiqué, cela peut prendre du temps.
Appliquer la recommandation de la fenêtre qui s’affiche en relançant « Redémarrage DNS » (D)
Après redémarrage, fermer la fenêtre et clic gauche icône verte, localhost et clic sur « monsitelocal » dans « Vos VirtualHost »
Vous arrivez sur page « Index of/ ». Cela est normal puisqu’il n’y a rien dans le dossier « monsitelocal »
Celui-ci sera rempli ultérieurement avec WordPress.
Si pour une raison quelconque vous voulez supprimer un VirtualHost, retourné sur « Gestion VirtualHost », cliqué sur « Formulaire de suppression de VirtualHost », cocher la case concernée et clic sur le bouton de suppression.

Création d’une base de données (BDD)

(H) Wampserver activé. Icône verte.
Depuis icône verte, clic gauche et phpMyAdmin. Utilisateur : root – Le reste inchangé. Pas de mot de passe – Valider.
Ouverture d’une fenêtre. Clic sur base de données en haut à gauche et case « créer ».
Donner un nom qui peut être composé de chiffres et de lettres. Exemple : « sitelocal-2022 » -Ne pas l’oublier. Clic sur Créer.
Votre base est créée et elle est vide pour l’instant.
Des tables viendront s’ajouter lorsque WordPress sera installé.
Information : La BDD contiendra la totalité de votre travail. Il est donc primordial de la sauvegarder régulièrement.

Installation de WordPress en Local

(I) Wampserver activé. Icône verte.
Installation des fichiers
WordPress ne s’installe pas comme un logiciel, il n’est donc pas intégré dans la base de registre de windows et n’apparaît donc pas dans « Programmes et fonctionnalités » du panneau de configuration.
Pour désinstaller WordPress, il suffira donc de supprimer le répertoire.
Télécharger le fichier Zip de WordPress, toujours la dernière version.
Ouvrir le fichier Zip de WordPress, aller dans le dossier « WordPress et Décompresser tous les dossiers et fichiers dans le dossier www/monsitelocal de Wamp64.
Ce nom apparaitra au tableau de bord dans les zones « Mon Projet » et « VirtualHost de Wampserver.
Vous avez donc : wamp64/www/monsitelocal/ et les dossiers suivant : wp-includes – wp-content – wp-admin et des fichiers en php.
Information : wp-content est le répertoire le plus important de votre site. Il contiendra la totalité des plugins et le thème du site.
Il est donc primordial de sauvegarder ce répertoire régulièrement.

(J) Wampserver activé. Icône verte.
Remplissage des Tableaux 1 et 2

Deux possibilités.
La Rapide : Clic gauche sur icône verte, clic sur Vos VirtualHosts et clic sur « monsitelocal ».
La ligne de commande : Taper dans le navigateur : localhost/ monsitelocal /wp-admin/setup-config.php
Dans les deux cas, lancement de wordpress et vous arrivez sur un tableau explicatif donnant les informations nécessaires pour compléter les deux tableaux suivant.

Tableau 1 : Pour la liaison entre WordPress et la BDD et accéder à phpMyAdmin.

  1. Nom de la base de données :
    1. Nom identique à celui que vous avez créé avec phpMyAdmin. Voir (H) « sitelocal-2022 »
    2. Nom d’utilisateur MySQL : root – sera demandé lors de la connexion à phpMyAdmin de wampserver.
  2. Mot de passe de l’utilisateur : supprimer « mot de passe » La Case doit être vide.
  3. Adresse de la base de données : localhost
  4. Préfixe de table : Celui qui est proposé par WordPress : wp_ Vous pouvez en mettre un autre mais Attention, le tiret du 8 doit toujours être présent à la fin du préfixe.

Tableau 1 : Toutes ces informations se retrouveront dans le fichier « wp-config.php » que vous trouverez dans wamp64/www/monsitelocal/
Valider pour passer au second tableau et clic sur « Lancer l’installation »

Tableau 2 : Pour se connecter au tableau de bord de WordPress.

  1. Titre du site : Nom qui vous convient, « monsitelocal » par exemple. Il s’affichera dans le tableau de bord de WordPress.
  2. Identifiant : Un simple à ne pas oublier
  3. MDP : Un simple à ne pas oublier
  4. Adresse Mail : Mettre une adresse valide. Cela ne coute rien
  5. Ne pas Cocher la case « moteurs de recherche

Tableau 2 : Toutes ces informations se retrouveront dans les tables de la BDD qui seront accessibles depuis phpMyAdmin de Wampserver
Si vous vous êtes trompé lors du remplissage tableau 1 ou 2, supprimer le fichier wp-config.php que vous trouverez dans wamp64/www/monsitelocal/ et recommencer la procédure.

  • Si vous avez bien travaillé, WordPress signale qu’il a reconnu la base de données et il vous demande de vous connecter.
  • Mettez l’identifiant et le mot de passe du tableau 2.
  • Si tout fonctionne bien vous arrivez sur le tableau de bord avec la « Bienvenue sur WordPress » et en haut à gauche le nom du site.

Pour Info :

  • A l’installation de WordPress, des tables seront installées dans la BDD. (12 il me semble)
  • Vérification. Clic gauche sur icône verte de Wamp, VirtualHost et « monsitelocal ».
  • Vous arrivez directement sur le site avec une page d’exemple. Pour vous connecter au tableau de bord de votre site, taper dans le navigateur ceci : monsitelocal/wp-login.php et valider. (Voir ligne 2 et 3 du tableau 2 ci-dessus).
  • Lors de la création du site, toutes les informations (pages, articles, images, extensions, etc.) seront inscrites dans les tables de la base de données qui sera donc le contenu qu’il faudra sauvegarder régulièrement.
  • La base de données est votre travail et comme tout travail, il est précieux.
  • A partir de cet instant, vous installez un Thème, des extensions et vous créez votre site. Voir le Web pour aide.

Migrer votre site en Ligne vers un site local

BDD=Base de données

(A) Faites une mise à jour de votre site en ligne (wordpress et extensions) si nécessaire.
Avec Filezilla ou autres, depuis le site en ligne :
– sauvegarder le dossier « wp-content » de votre site en ligne sur votre DD dans un dossier « Sauvegarde »
– sauvegarder le fichier « wp-config.php » qui se trouve à la racine de votre site en Ligne dans un dossier « Sauvegarde. Sera utile dans la Partie (I) ci-dessous
– exporter la base de données du site en ligne dans le dossier « Sauvegarde » de votre DD. Procédure ci-dessous

Exportation d’une base de données : 2 possibilités (Màj le 30/10/2023)

  1. Utilisation de phpMyAdmin de l’hébergeur. La BDD est complète avec les 12 tables WordPress et celles de vos données du site en ligne.
  2. Via le tableau de bord de WordPress de votre site en ligne en utilisant une extension de sauvegarde que vous avez peut-être installée à cet effet. Attention, ce type d’extension peut très bien ne fournir qu’une BDD composée uniquement des tables de données de votre site en ligne, donc sans celles de wordpress qui sont au nombre de 12.

Il est Impératif de noter le nom de la base de données.

(B) Vous n’avez pas de site local et vous voulez en créer UN qui soit identique à celui qui est en ligne :

Installez en Un : Voir article, Création d’un site web en local.
Je rappel que cette installation utilise le VirtualHost de Wampserver.

Modifications à faire dans certaines parties de l’installation.

Dans la partie (E) : créer un dossier avec le nom de votre site en ligne suivi de « .local». Exemple : monsite.local.
Cela est nécessaire pour bien faire la différence entre le site en ligne et celui en local lorsque vous ouvrez ces deux sites en même temps dans votre navigateur.

Dans la partie (G) : VirtualHost – Vérifier qu’il fonctionne pour ce site. Si OK continuer l’installation. Je rappel que le virtualhost doit être installé avant l’installation de Worpress (c’est sur) et avant la création de la BDD (je pense).

Dans la partie (H) : Création d’une base de données (BDD), vous devez mettre le nom fourni par l’hébergeur de votre site en ligne.
Après création de la BDD, cliquer en haut de la page PhpMyAdmin sur Importer, Parcourir et sélectionner le fichier que vous avez sauvegardé.
Voir (A) ci-dessus. Le chargement peut être long.

Dans la partie (I) : Pour finir l’installation de WordPress :
Rappel : les informations demandées se trouve dans le fichier (A) ci-dessus « wp-config.php » qui se trouve à la racine de votre site en Ligne.

Tableau 1 : Modifications de deux lignes, Le reste du tableau 1 sans changement.
Nom de la base de données : celui fournie par l’hébergeur de votre site en ligne.
Préfixe de table : Identique à celui fournie par l’hébergeur de votre site en ligne.
Attention, le tiret du 8 doit toujours être présent à la fin du préfixe.

Tableau 2 : Modifications de deux lignes, Le reste du tableau 2 sans changement.
Identifiant : Celui que vous utilisez pour vous connecter à l’administration de votre site en ligne.
MDP : Celui que vous utilisez pour vous connecter à l’administration de votre site en ligne.
Si tout est OK, quitter votre navigateur Web.
Aller sur votre explorateur de fichiers dans le dossier créé en (E) ci-dessus et supprimer le dossier wp-content.
Remplacer ce dossier par celui sauvegardé en (A) ci-dessus.

Vous avez quasiment fini.
Ne lancer pas le site local depuis wampserver, il y aura plein d’erreurs.
Il faut d’abords modifier toutes les URL https:// qui se trouvent dans la BDD de Wamp et les remplacer par les URL en locahost.
Cela se fera avec Search and Replace DB (SRDB). Page suivante

(C) Vous avez un site local identique à celui qui est en ligne et vous voulez le mettre à jour :

Cas qui se présente lorsque vous avez beaucoup modifié le site en ligne et que vous voulez faire une mise à jour de votre site local afin qu’il soit tous les deux identiques.
Autre cas : vous voulez utiliser le site local doté des fichiers et BDD du site en ligne pour tester les Blocs GUTENBERG de wordpress.
J’explique sous forme de résumé. Voir paragraphes précédents pour plus de détails si nécessaire.
Comme le site local et le site en ligne disposent des mêmes informations reprises en bleu Tableau 1 et 2 ci-dessus, les opérations à effectuer sont plus simples.
Wampserver doit être actif.
(1)-Du site en ligne : Sauvegarder avec FileZilla, wp-content et avec PhpMyAdmin de l’hébergeur, la BDD.
Du site Local : Supprimer wp-content, et le remplacer par celui de votre site en ligne sauvegardé.
De Wamperser : lancer PhpMyAdmin. Cliquer sur la BDD du site local (colonne gauche) et cliquer sur l’onglet « Importer » en haut et à droite.
Faite parcourir et cliquer sur la BDD sauvegardée en (1). Celle-ci va se charger et remplacer toutes les tables existantes ou les mettre à jour.
Ne lancer pas le site local depuis wampserver, il y aura plein d’erreurs.
Il faut d’abords modifier toutes les URL https:// qui se trouvent dans la BDD et les remplacer par les URL en locahost.
Cela se fera avec Search and Replace DB (SRDB). Page suivante.

Utilisation de Search and Replace DB
(D’un Site en ligne vers un Site local)
Pour Info : j’explique dans un autre article, l’utilisation de SRDB pour le transfert d’un site en local vers un site en ligne.

Télécharger Version 2021: https://www.wpserveur.net/docs/wordpress/changer-vos-liens-facilement-avec-srdb/
Télécharger Version 4 de 2022 : https://interconnectit.com/search-and-replace-for-wordpress-databases/ directement sur le site mais avec inscription. L’avantage est d’obtenir la dernière version et vous pouvez ou pas faire un don.
Search and Replace DB (SRDB) sera utiliser pour remplacer les URL https:// en localhost.

Wampserver doit être actif pour l’utilisation de SRDB. Icône verte.
Le terme « monsite.local » correspond au nom du dossier ou vous avez installé votre site local sur WordPress.
Le terme « nom-de-domaine.fr » correspond au nom utilisé par vous pour se connecter au site en ligne.
Créer un dossier « SRDB » dans la racine de votre site local ou se trouve wp-admin, wp-content, etc et décompresser Search and Replace DB dans le dossier « SRDB ».

  1. Depuis le navigateur Mozilla ou autres, lancer la commande suivante : localhost/monsite.local/SRDB
    Pour Info : Search and Replace DB (SRDB) est sensible à la version du PHP (7.4 au 16/05/2021).
    Si vous avez des erreurs au lancement, activer une autre version PHP plus récente ou plus ancienne de Wampserver.
    (Clic gauche Icône verte, PHP/Version et choisir)
    Nous allons utiliser les codes d’accès
  2. Mettre dans « Database name » nom de la BDD (voir H)
  3. Ensuite les codes d’accès au PhpMyAdmin de Wampserver : dans « username » « root » et dans « host » « localhost ».
    Les cases « pass » et « port » n’ont pas à être renseignées.
    Cliquer sur le bouton rouge « Test connexion ». Si tout est Ok, « Success. You are connected. »
  4. Cocher « All tables »
  5. Dans le champ « replace » indiquer le mot ou url à remplacer. Voir ci-dessous
  6. Dans le champ « replace with » indiquer le mot ou url qui remplacera. Voir ci-dessous
  7. Cliquer sur « Do a safe test run » pour voir si cela fonctionne correctement. Voir ci-dessous
  8. Cliquer sur « Search and replace » pour tout remplacer. Vérifier le bon fonctionnement du site. Voir ci-dessous
  9. Si le site fonctionne bizarrement, connecter vous au tableau de bord du site localhost/monsite.local/wp-login.php,
    aller dans la barre latérale de gauche et cliquer sur « Réglage-Général-Permaliens ».
    Choisissez une structure différente de celle qui est déjà cochée (s’en souvenir) et enregistrer les modifications.
    Re-cocher la structure décochée précédemment puis enregistrer les modifications.
    Il arrive parfois que les permaliens ne sont pas pris en compte lorsqu’on utilise un logiciel modifiant les URLs de la BDD. Si OK – (Màj le 30/10/2023)
  10. Cliquer sur « Delete me » pour supprimer « SRDB » contenant le script lorsque vous avez terminé.
    Supprimer également le reliquat du dossier SRDB du DD. Faite le depuis le navigateur de fichiers.
    Ce n’est pas obligatoire pour un site en local mais Impératif pour un site en ligne.

Le site en ligne est en https
Le terme « nom-de-domaine.fr » correspond au nom de domaine du site en ligne.

(1) – Vérifier en recherchant avec » Do a safe test run » s’il y a des URL en https://nom-de-domaine.fr
Replace : https://nom-de-domaine.fr   Ne pas mettre / à la fin de nom-de-domaine.
Replace with : http://localhost/monsite.local  Ne pas mettre / à la fin de monsite.local
Cliquer sur « Search and replace » pour tout remplacer

(2) – Vérifier en recherchant avec » Do a safe test run » s’il y a des URL en https://www.nom-de-domaine.fr
Replace : https://www.nom-de-domaine.fr  Ne pas mettre / à fin de nom-de-domaine.
Replace with : http://localhost/monsite.local Ne pas mettre / à là la fin de monsite.local
Cliquer sur « Search and replace » pour tout remplacer
Vérifier le bon fonctionnement du site (voir (9) ci-dessus) et si OK.
Cliquer sur « Delete me » pour supprimer « SRDB » contenant le script lorsque vous avez terminé.
Supprimer également le reliquat du dossier SRDB du DD. Faite le depuis le navigateur de fichiers.

Le site local est désormais une copie exacte du site en ligne.
Lancer le site local depuis Wampserver et pour se connecter en mode administration, il faut mettre en identifiant et mot de passe ceux qui sont utilisés lors de la connexion au site en ligne avec son nom de domaine.fr.

Au Final

Vous avez un site local et un site en ligne ayant, le même Nom de la BDD (tableau 1), le même préfixe (tableau 1), les mêmes codes d’accès au tableau de bord de WordPress (tableau 2).
Mais vous n’avez pas les mêmes codes d’accès à phpMyAdmin pour Wampserver (local) et Hébergeur (ligne) afin d’administrer la BDD.base
Cela est normal.
De même, le fichier « wp-config.php » sera différent du site local et du site en ligne.
En Local, il n’y a pas vraiment nécessité à protéger l’accès à cette base sachant que vous êtes chez vous et en Localhost.
Donc accès à phpMyAdmin de Wampserver avec Utilisateur « root » et pas de mot de passe (tableau 1)
En Ligne, c’est l’hébergeur qui vous impose un accès protégé et il faut impérativement le respecter.
Donc accès à phpMyAdmin de l’hébergeur avec les codes « utilisateur » et « mot de passe » qu’il vous a fourni.
Pour ces codes, voir votre « Espace Client » chez l’hébergeur ou le mail qu’il vous a transmis
Sinon aller sur votre site en ligne avec filezilla, copier /coller le fichier wp-config.php sur votre disque dur et ouvrez celui-ci avec Notepad++ . Vous trouverez la totalité des infos du tableau 1.

Migrer votre site local vers un site en ligne

BDD=Base de données
Site en Ligne : Avant de procéder à la migration faite une sauvegarde complète de votre site en ligne sur votre DD (FileZilla) ainsi que la BDD (PhpMyAdmin) dans un dossier sur votre DD. Simple précaution.
Afin de remplir les informations du point 3 de  Search and Replace DB ,   il faudra utiliser les informations du fichier wp-config.php qui se trouve à la racine de la sauvegarde de votre site en ligne sur le DD.
Site en Local : Le dossier wp-content du DD remplacera le dossier wp-content du site en ligne et la BDD du site local remplacera celle du site en ligne.
Voir ci-dessous pour les procédures.
Après migration vous aurez aussi bien en local qu’en ligne les mêmes codes pour la BDD et le préfixe et pour WordPress,  l’identifiant et le mot de passe.

Préparation du site local pour le transfert en ligne

Pour que votre site Local soit compris par le wordpress de votre hébergeur, il faut le préparer.
J’utilise le logiciel libre « Search and Replace DB» qui remplacera les Url du site local en Url pour site en ligne.
En local, les Url sont en «http://localhost » et en ligne, en https://
Télécharger Version 2021: https://www.wpserveur.net/docs/wordpress/changer-vos-liens-facilement-avec-srdb/
Télécharger Version 4 de 2022 : https://interconnectit.com/search-and-replace-for-wordpress-databases/ directement sur le site mais avec inscription. L’avantage est d’obtenir la dernière version et vous pouvez ou pas, faire un don.
Télécharger « Search and Replace DB» et décompresser le tout dans un dossier nommé « SRDB » sur votre Disque dur.

  1. Wampserver/phpMyAdmin :
    Sauvegarder la BDD (via phpMyAdmin) du site local dans un dossier « Sauvegarde » sur votre DD Ordinateur.
  2. phpMyAdmin de votre hébergeur :
    Sauvegarder la BDD du site en ligne en l’exportant dans un dossier sur votre DD pour secours.
    Ensuite Importer la BDD du site local qui a été sauvegardé dans le dossier « Sauvegarde ».
    Cette importation va remplacer et mettre à jour les tables de la BDD du site en ligne.
  3. Filezilla :
    Connectez-vous à votre site en ligne avec les codes FTP fournis par l’hébergeur.
    A gauche les dossiers de votre DD et à droite les dossiers de votre site en ligne.
    Sauvegarder en totalité le site en ligne par glisser/déposer ou copier/coller sur votre DD pour secours.
    En fonction du nombre de fichiers, cela peut prendre du temps.
    Après sauvegarde, supprimer le dossier « wp-content » du site en ligne (à droite).
    A gauche, glisser/déposer ou copier et coller le dossier « wp-content » du site local du DD à la place du dossier « wp-content » que vous venez de supprimer.
    Copier/coller également le dossier SRDB » dans la racine de votre site en ligne.
    Surtout ne vous connectez pas sur le site en ligne pour avoir un aperçu du résultat. Erreurs garanties.

Utilisation de Search and Replace DB (local vers ligne)
Pour Info : j’explique dans un autre article, l’utilisation de SRDB pour le transfert d’un site en ligne vers un site local.

  1. Depuis le navigateur Mozilla ou autres, lancer la commande suivante : https://www.nom-de-domaine.fr/SRDB qui correspond au nom de votre site en ligne.
    Pour Info : Search and Replace DB (SRDB) est sensible à la version du PHP (7.4 au 16/05/2021).
    Si vous avez des erreurs au lancement, cherchez après une autre version plus récente ou plus ancienne du SRBD.
    Vous pouvez éventuellement modifier TEMPORAIREMENT la version du PHP chez votre hébergeur. L’idéale étant d’avoir la version 4 de SRDB.
    Pour ci-dessous, les codes demandés se trouvent également dans le fichier « wp-config.php » du site en ligne.
  2. Dans la case « Database name» mettre le nom de la BDD. Celle de l’hébergeur.
  3. Dans « username» nom de l’utilisateur, dans « password » le mot de passe, dans  « host » le nom du serveur ».
    La case « port » n’a pas à être renseignée. Informations fournies wp-config.php du site en ligne sauvegardé.
    Cliquer sur le bouton rouge « Test connexion ». Si tout est Ok, « Success. You are connected. »
  4. Cocher « All tables »
  5. Dans le champ « replace» indiquer le mot ou url à remplacer. Voir ci-dessous
  6. Dans le champ «replace with » indiquer le mot ou url qui remplacera. Voir ci-dessous
  7. Cliquer sur « Do a safe test run» pour voir si cela fonctionne correctement
  8. Cliquer sur « Search and replace» pour tout remplacer.

Le site en ligne est en https
Le terme « nom-de-domaine.fr » correspond au nom de domaine du site en ligne.

(1) – Vérifier en recherchant avec » Do a safe test run » s’il y a des URL en http://localhost/monsite.local
Ensuite :
Replace : http://localhost/monsite.local Ne pas mettre / à la fin de mon-site.
Replace with : https://nom-de-domaine.fr Ne pas mettre / à la fin de nom-de-domaine.
Cliquer sur « Search and replace » pour tout remplacer

(2) – Vérifier en recherchant avec » Do a safe test run » s’il y a d’autres URL. Cela peut arriver.
Exemple : localhost/monsite.local ou www.monsite.local ou http://www.monsite.local ou http://monsite.local ou monsite.local, s’il y en a :
Replace : chaque URL ci-dessus et une par une.  Ne pas mettre / à la fin
Replace with : https://nom-de-domaine.fr. Ne pas mettre / à la fin de nom-de-domaine.
Cliquer sur « Search and replace » pour tout remplacer

Vérifier le bon fonctionnement du site.(Màj le 30/10/2023)
Si le site fonctionne bizarrement, connecter vous au tableau de bord du site en ligne https://nom-de-domaine.fr/wp-login.php,
aller dans la barre latérale de gauche et cliquer sur « Réglage-Général-Permaliens ».
Choisissez une structure différente de celle qui est déjà cochée (s’en souvenir) et enregistrer les modifications.
Re-cocher la structure décochée précédemment puis enregistrer les modifications.
Il arrive parfois que les permaliens ne sont pas pris en compte lorsqu’on utilise un logiciel modifiant les URLs de la BDD.

Si OK Impératif : Cliquer sur « Delete me » pour supprimer « SRDB » contenant le script lorsque vous avez terminé.
Supprimer également le reliquat du dossier SRDB du DD. Faite le depuis le navigateur de fichiers.

C’est fini. Votre site en ligne possède maintenant tout le contenu fourni par la BDD et le dossier wp-content.
Quitter votre hébergeur, fermer Wampserver et Filezilla.
Dans votre navigateur, vous tapez votre nom de domaine.fr et si tout est ok, votre site s’ouvrira.

Pour se connecter en mode administration, il faut mettre l’identifiant et mot de passe du site en ligne.

Passer son site qui est en ligne en HTTPS

Vous avez déjà un site en ligne, mais il est en « http:// »
Il est impératif, avant de commencer, de sauvegarder sur DD local la totalité du site en ligne ainsi que la base de données.

Ce mémo personnalisé et simplifié est concocté avec des extraits d’articles importés du web, notamment de wpmarmite.
Ci-dessous deux liens qui en parle et ils sont très complets, voir pointus, de plus tenus à jour.
Je vous recommande très fortement de les lire.
https://wpmarmite.com/wordpress-https/
https://wpformation.com/wordpress-http-https/
De même il est très important de voir chez l’hébergeur si un tuto n’existe pas.
Chaque hébergeur peut avoir des règles à respecter pour passer en https.

Certificat SSL :
Pour passer son site en Https, il vous faut un certificat SSL fourni par votre hébergeur et activé.
S’il n’est pas activé, aller sur votre espace personnel de votre hébergeur, trouver le certificat SSL et activer le.
Attention, pour certain hébergeur, il faut acheter ce certificat ou alors passer par Let’sEncrypt qui est gratuit.
Pour vérifier l’activation du certificat SSL : https://www.ssllabs.com/
Pour vérifier les protocoles activés : https://www.cdn77.com/tls-test
Pour les protocoles :les réponses en rouge sont à rectifier

Fichier .htaccess et Redirections URL.
Aller à ce lien : https://wpmarmite.com/redirection-wordpress/
Soit vous utilisez le plugin « Redirection » que vous installez depuis le tableau de bord de WordPress.
Aller dans « Extension » et Ajouter une extension puis rechercher Redirection.
Installer puis Activer et utiliser le mode d’emploi de wpmarmite.

Sinon, vous pouvez également modifier le fichier .htaccess, mais il ne faut pas se tromper.
Accéder à votre site en ligne avec Filezilla ou autres avec les codes d’accès fournis par votre hébergeur.
Depuis le répertoire racine du site en ligne, copier/coller ou glisser/déposer le fichier .htaccess dans un dossier « Sauvegarde » de votre disque dur
Ouvrez ce fichier avec votre éditeur de code (Notepad++ ou autres) et appliquer le mode d’emploi de https://wpmarmite.com/redirection-wordpress/

Avant de vérifier que les redirections fonctionnent, faite le remplacement des URL comme indiqué ci-dessous.

Remplacer les URL qui sont en http :

Utilisation de Search and Replace DB.

Voir pages précédentes :

  • Pour les liens de téléchargement du logiciel
  • Pour les mesures à prendre avant de lancer le remplacement des URL
  • Pour utiliser SRDB

Infos :
Pour : Replace : http://nom de domaine.fr Ne pas mettre / à la fin
Pour : Replace with : https://nom de domaine.fr Ne pas mettre / à la fin

Aller ensuite sur l’un de ces sites pour vérifier les redirections
https://www.redirection-web.net/ ou
https://www.websiteplanet.com/fr/webtools/redirected/ ou
https://www.whynopadlock.com/223d5419-8600-4798-8381-b77906ee7cda
Inscrivez le nom de domaine de votre site en ligne et valider.

Une fois l’exécution du script terminé, tous les liens insérés dans vos articles, pages, menus et dans les réglages du site seront désormais en HTTPS.
Pour vous en convaincre, connectez-vous à votre site et allez dans Réglages > Général.
Vous devriez voir que les adresses ont été mises à jour.

Autres modifications pouvant être nécessaire

Mise à jour du WP-ADMIN (administration) :

Si après connexion à l’administration ou tableau de bord (dashboard) le https n’apparaît pas dans la barre du navigateur.
Aller voir l’article de https://wpmarmite.com/wordpress-https/

Vérifier les ressources chargées par le thème

Parfois, il arrive que le thème charge toujours des fichiers (CSS, JS ou autre) en HTTP au lieu de HTTPS.
On appelle ça les contenus mixtes (mixed content en anglais).
Cadenas Vert/orange et point d’interrogation à gauche de votre nom de domaine dans la barre du navigateur (ex:Mozilla)
Voir l’article de https://wpmarmite.com/wordpress-https/

Modifier les applications et extensions annexes

Mettre à jour Google

Il y a de très fortes chances pour que vous utilisiez des applications Google pour suivre la vie du site ou autres.
Il est donc nécessaire de tout mettre à jour.
Je vous indique ci-dessous mes modifications que j’ai dû faire lors du passage en https://.
Il y en a certainement d’autres et notamment celles qui touchent au Référencement « SEO ».

Google Search Console

Il n’y a pas de modification possible.
Vous devez créer une nouvelle propriété en https://
Celle en http:// sera à supprimer plus tard quand la prise en compte du https:// sera totale par Google.

Google Analytics

Aller sur Google Analytics
Vous arrivez au tableau « Accueil », ensuite tout en bas à gauche sur « Administration »
Vous arrivez sur un tableau à trois colonnes, Compte, Propriété et Vue.
Colonne « Propriété », cliquer sur « Paramètres de la propriété »
A « URL par défaut » mettez « https:// » en utilisant le curseur.

API de Google ou autres.

N’intervenir que si la synchronisation ne fonctionne plus.
Certaines extension ou plugins de votre site utilisent peut-être des clés obtenues depuis une API de Google.
Ces clés pointent très souvent sur le nom de domaine de votre site.
Donc ne pas oublier de revoir ces API ainsi que les clés et de les synchroniser.
Exemple :
Extension WordPress pour prendre des rendez-vous depuis le site avec une synchronisation entre cette extension et l’Agenda de Google, iCal, Twilo SMS, PayPal, WooCommerce, etc.

Le Sitemap

La dernière version de WordPress intègre désormais un sitemap qui est mis à jour automatiquement.

Mettre à jour le fichier robots.txt

Editer le fichier « robot.txt » qui se trouve également à la racine du site et ajouter un « s » à http si nécessaire.

Le RGPD

Le Règlement Général sur la Protection des Données.
Vous utilisez certainement une extension donnant aux internautes la possibilité d’accepter ou de refuser les cookies.
Il s’agit maintenant d’une obligation.
Certaines extensions suivent le choix des internautes afin d’en faire des statistiques qui sont disponibles au webmaster depuis son compte.
Depuis ce compte, il faut vérifier et modifier si nécessaire l’URL de votre site.

Création d’un « Thème enfant »

Les manipulations dans les dossiers du site en ligne sont effectuées avec FileZilla.
Les manipulations dans les dossiers du site local sont effectuées avec le navigateur de fichier de Windows.
Ne pas oublier de faire une sauvegarde complète du dossier wp-content sur votre DD et faire une sauvegarde de la BDD depuis votre hébergeur ou de wordpress.
Les modifications dans les fichiers php et css sont effectuées avec Notepad++.
Le but d’un thème enfant est de ne plus être tributaire des mises à jour de votre thème et qui viennent annuler votre travail de mise en forme.
Donc un thème « enfant » est quasi obligatoire si vous faites des modifications.

Pour Info, j’utilise le thème « Vantage »
Pour un autre Thème remplacer « vantage » par le nom de votre thème.
Premièrement : Créer un dossier « enfant-vantage » dans le dossier wp-content/themes.

Créer un fichier « style.css » avec Notepad++.

Lancer Notepad++
Y mettre ces lignes de codes ci-dessous.
/*
ThemeName: enfant-vantage
Description:Theme enfant-vantage
Author:Microferlille
AuthorURI: https://www.microferlille.fr
Template:vantage
Version: 0.1.0
*/
Pour un autre Thème remplacer « vantage » par le nom de votre thème.
Author par celui qui créé le site ou autres comme le nom de votre association ou de votre entreprise, etc.
Author URL par votre nom de domaine « adresse du site »
Version, on laisse ainsi.
Enregistrer ce fichier sous le nom de « style.css » dans le dossier « wp-content/themes/enfant-vantage »

Créer un fichier « functions.php » avec Notapad++.

Lancer Notepad++
Y mettre ces lignes de codes ci-dessous.
<?php
/**
** activation theme
**/
add_action( ‘wp_enqueue_scripts’, ‘theme_enqueue_styles’ );
functiontheme_enqueue_styles() {
wp_enqueue_style( ‘parent-style’, get_template_directory_uri() . ‘/style.css’ );
}
Ne pas fermer ces lignes de codes avec ?>
Enregistrer ce fichier sous le nom de « functions.php » dans le dossier « wp-content/themes/enfant-vantage »

Embellir votre thème Enfant pour le reconnaitre dans le tableau de bord de WordPress

Aller dans le dossier de votre thème et copier le fichier « .jpg ». Dans « Vantage » c’est « screenshot.jpg »
Coller le dans le dossier « enfant-vantage »

Au final, dans le dossier « enfant-vantage » il y a 3 fichiers (style.css, function.php, l’image.jpg) qui créeront un sous thème dans le tableau de bord de WordPress..

Activer le thème enfant
Depuis le tableau de bord de WordPress, aller dans « Thème » et Activer votre thème enfant.

Votre Thème Enfant est créé et vous voilà tranquille pour la suite.

A chaque fois que vous modifiez avec Notepad++ un fichier CSS ou PHP se trouvant dans le dossier « themes » et que vous voulez conserver ces modifications :
– faite une copie modifiée de ce fichier dans « enfant-vantage » Ex : header.php, image.php, etc.

A chaque fois que vous modifiez avec Notepad++ un fichier CSS ou PHP se trouvant dans un sous dossier de « theme », vous devez créer un sous dossier dans « enfant-vantage » avec le même nom.
Exemple : Modification du fichier « footer.php » se trouvant dans le sous dossier « parts » de « themes ».
Créer un sous dossier ‘parts » dans « enfant-vantage ». Ex : « wp-content/themes/enfant-vantage/parts » et coller le fichier « footer.php » modifié.